Les services de contre-espionnage lettons ont annoncé mercredi qu’ils poursuivaient une enquête sur des espions russes présumés, impliqués dans un scandale concernant l’Otan et ayant déjà conduit en prison en 2009 un haut fonctionnaire en Estonie voisine. L’office letton de protection de la Constitution (SAB) a indiqué dans son rapport annuel qu’il tentait d’élucider les relations entre un ancien responsable du ministère estonien de la Défense, Herman Simm, et ses commanditaires russes qui fréquentaient la Lettonie entre 2000 et 2008.
"Même si Simm a déjà été jugé pour trahison en 2009, l’unité de contre-espionnage a néanmoins poursuivi une enquête en 2010 pour vérifier les faits relatifs à la Lettonie, révélés à cette occasion", a déclaré l’office.
Herman Simm, 63 ans, a été condamné à 12 ans et six mois de prison en février 2009 à Tallinn, après avoir avoué qu’il avait vendu dans les années 1995-2008 des secrets de l’Otan à la Russie. Peu après son procès, l’Alliance atlantique a expulsé deux diplomates de la mission russe auprès de l’Otan, en représailles aux agissements de Simm. L’affaire Simm a embarrassé l’Estonie, une ancienne république soviétique de 1,3 million d’habitants, qui a recouvré son indépendance en 1991 et qui, tout comme la Lettonie, a rejoint l’Otan en 2004. Le SAB a précisé mercredi qu’il poursuivait son enquête sur les activités en Lettonie des commanditaires russes présumés de Simm, et il a demandé aux Lettons ayant des informations à ce sujet de les lui communiquer.
"Même si Simm a déjà été jugé pour trahison en 2009, l’unité de contre-espionnage a néanmoins poursuivi une enquête en 2010 pour vérifier les faits relatifs à la Lettonie, révélés à cette occasion", a déclaré l’office.
Herman Simm, 63 ans, a été condamné à 12 ans et six mois de prison en février 2009 à Tallinn, après avoir avoué qu’il avait vendu dans les années 1995-2008 des secrets de l’Otan à la Russie. Peu après son procès, l’Alliance atlantique a expulsé deux diplomates de la mission russe auprès de l’Otan, en représailles aux agissements de Simm. L’affaire Simm a embarrassé l’Estonie, une ancienne république soviétique de 1,3 million d’habitants, qui a recouvré son indépendance en 1991 et qui, tout comme la Lettonie, a rejoint l’Otan en 2004. Le SAB a précisé mercredi qu’il poursuivait son enquête sur les activités en Lettonie des commanditaires russes présumés de Simm, et il a demandé aux Lettons ayant des informations à ce sujet de les lui communiquer.
1 comment:
Möchte heut mal wieder reinschauen, und liebe Grüsse aus Kaiserslautern
dalassen.
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